Le patron d'une fabrique de pièces automobile au Honduras, sans doute un constipé et un emmerdeur, aurait contraint ses salariés travaillant à la chaîne à porter des couches-culottes.
L'entreprise, c'est Kyungshin Lear Honduras Electrical Distribution Systems, pour ne pas la nommer. L'affaire est venue dans la presse, à la suite d'une plainte déposée par une salariée qui a été licenciée.
Selon elle, afin d'augmenter la productivité, les employés qui travaillent à la chaîne n'ont pas le droit d'aller aux toilettes. Ils doivent faire leurs besoins sur leurs postes de travails, dans les couches-culottes qu'ils sont contraints de porter.
L'accès aux toilettes leur est interdit, et des caméras y sont placées afin d'empêcher toutes fraudes. Les couches-culottes ne sont même pas fournies par l'entreprise, mais doivent être achetées par les salariés avec leurs propres deniers. Ne pas porter de couches-culottes sur son poste de travail est un motif de licenciement.
La direction de l'entreprise nie tout en bloc bien sûr, mais une enquête a été ouverte.
Quelle époque ! Tout cela au nom d'une productivité qui va tourner à la surproduction, et tout le monde se retrouvera dans la merde.
Zola à côté, c'est du pipi de chat.