Des chercheurs de l’Institut d’Hygiène de l’université médicale de Vienne, n'ayant sans doute rien de mieux à faire, se sont dit "Ah tiens, si on analysait 1 000 litres d'eau bénite ?"
Bonne idée finalement. Ils y ont trouvé 62 millions de bactéries et des matières fécales. Une révélation et un signe des temps. La purification apportée par la messe n'est plus ce qu'elle était.
Surtout depuis qu'un pape a croqué la pomme, et est tombé dans la superficialité. Mais en fait, ça fait longtemps que ça dure. Brassens le chantait déjà. Sans le latin, la messe nous emmerde...