A propos du racisme anti-blanc, qui ne voit aujourd’hui que le marteau des tabous, la tenaille du politiquement correct et la faucille de la liberté d’expression sont les nouveaux outils néo marxistes (avec la complicité des médias) de la mise en captivité idéologique du peuple français.
En effet, alimentés en continu (désormais, on ne le sait que trop), par des subsides prélevés dans la poche du contribuable français, contraint, lui, de cracher au bassinet de cette ineffable « démocrature » antiraciste, les nébuleuses de l’antiracisme intitutionalisé ; emportées par un maelström d’arrière-pensées politiquement lucratives, sont en train de pratiquer, eux, à temps plein une sorte de destockage des valeurs occidentales : à coups de ratiocinations aussi velléitaires que justiciardes.
Le hic, c’est que la plupart du temps, ces déferlements inquisitoires ne sont que des tombereaux de contrevérités et de prises de positions dont le sectarisme n’est plus à démontrer.
Question : ne marchons-nous pas là sur les sentiers du grotesque ?
(Voir deux vidéos sur Dailymotion : « Entretien avec Omar Djellil », et « Omar Djellil sur SOS racisme »).